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27 janvier 2013 7 27 /01 /janvier /2013 17:44

one-stormy-night.png

Histoire

Kanouk et Jao, un loup et une chèvre, se rencontrent un jour par le plus grand des hasards et se lient d'amitié. Une amitié plus forte que l'inimitié naturelle qui oppose le prédateur et sa proie. Cependant Kanouk est tormenté par son instinct de loup et la présence de Jao à ses côtés ne fait que compliquer son problème. S'ajoute à cela, la troupe de Jao et la meute de Kanouk qui agissent en secret afin de les séparer par tous les moyens.

 

 Ma Critique

 Cette amitier hors du commun m'a vraiment touché et émus ! J'avais la larme à l'oeuil par moment ! Jao la chévre personnage attendrissant et Kanouk le grand loup amusant.L'histoire est bien mener en ce demande  jusqu'a la fin comment tout cela va finir à chaque situation.Bon suspence.

Quand à la réalisation vraiment excellente,une animation trés bonne,des décors trés beaux,une 3D utiliser avec bonne escient,une bande son merveilleuse,et un bon doublage pour ne pas gacher le tout !Cette anime à etais une agréable surprise pour ma part , je dirait meme un de mes coups de coeur !Mérite bien son prix de meilleur film d'animation 2007 !

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 22:37
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13 janvier 2013 7 13 /01 /janvier /2013 17:27

 

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20 juillet 2011 3 20 /07 /juillet /2011 16:41

  kaori yuki 1200

Kaori Yuki est née un 18 décembre à Tokyo. Elle débute en temps que mangaka professionnelle en 1987 avec la nouvelle courte Natsufuku no Eri (les vêtements d'été d'Eri) parue dans le magazine bimensuel japonais "Hana to Yume" des éditions Hakusensha (édition spécialisée dans la parution de shôjo manga). Jusqu'à nos jours, Kaori Yuki reste très discrète sur sa vie privée.

A ces débuts, le dessin de Kaori Yuki fleure bon la mangaka fraîchement sortie de l'école de dessin. Par la suite, on remarquera une évolution tout à fait significative au fil de ces œuvres.

Dame Yuki possède à son collectif un bon nombre de nouvelles, rassemblées dans des recueils et des séries courtes. Le plus projet du mangaka à ce jour, le plus connu, reste la série éponyme Tenshi non Kinryôku a.k.a Angel Sanctuary qui compte 20 volumes, série complète qu'elle entame de 1995 à 2001.

Sa deuxième série "longue" est entrecoupée en deux parties, il s'agit de Hakushaku Cain a.k.a. Comte Cain entreprise vers 1992 à 1995, et reprise après la fin d'Angel Sanctuary de 2001 à 2003, sous le nom de God Child. C'est dans cette série comptant en tout 13 volumes, que l'on peut remarquer le plus la transition incroyable entre les œuvres de début de la dame et son style actuel.

Kaori Yuki est un mangaka au style vraiment unique, imposant un dessin très stylisé, neo-gothique, qui fait d'elle une véritable référence en la matière. A ces débuts, la dessinatrice nous propose des planches très travaillées, ultra chargées,qui de temps ne facilitent pas la compréhension des trames de ces histoires tortueuses... Celle-ci encre beaucoup, utilise beaucoup de trame, ce qui pour effet de donner un contraste singulier à son dessin si fouillé.
Côté illustrations, la mangaka utilise des couleurs d'aquarelle dont le mariage, rendent hommage à ses personnages.
Le découpage des planches est dynamique, prompt à l'action, donne un véritable souffle de vie à l'histoire contée (bien que dans ces débuts, la mangaka dénigre toujours ses décors, dans ces petits commentaires adressés au lecteur...).
Dame Yuki se documente beaucoup, imposant alors des univers fourmillant de mille détails, un véritable dédale imaginaire, dans lequel le lecteur prend plaisir à se perdre sans hésiter. Il est vrai que la mangaka tord des fois les éléments historiques à son avantage, mais cela serait un tort de le lui reprocher, seul magnanime pourrait s'amuser à déceler certaine petites "erreurs" commises. Ces inspirations sont multiples, des textes de l'ancien testament à la kabbale, des comptines anglaises "Real Mother Goose" aux romans de Lewis Caroll, des contes populaires des frères Grimm remis aux goûts du jour aux légendes urbaines, des poisons aux fragrances des parfums, d'un univers fantasy au gothisme à la science-fiction, Kaori Yuki jongle à travers le temps avec un peu tout ce qu'elle apprécie tout en gardant les éléments prépondérant à son propre univers. La sauce à laquelle celle-ci mitonne tout cela, a souvent une touche sanglante très personnelle... Elle-même avoue son penchant pour les groupes de Visual Kei, ses dessins s'en ressentent assez, il suffit d'un peu d'observation pour retrouver avec plaisir quelques têtes familières.
L'artiste traite de sujets retords, de sujets tabous, de sujets qui la touchent. Les amours interdites, tel que l'inceste ou l'homosexualité sont traités avec brio, incluant la profondeur et sensibilité. La mangaka aiment les personnages au passé tortueux, les personnages qui ont du caractère, les personnages qui ne sont pas ceux qu'ils paraissent être. Les blessures du passé sont des fois très difficiles à refermer...
Scénariste hors pair, la dame découpe au scalpel son intrigue, parsemant des indices de-ci de-là, des fois de réels indices, des fois des indices qui trompent, il n'y a qu'elle qui soit maître du fil rouge de sa trame, telle une moire qui tisse le destin indéniable dans lequel se précipiteront tôt ou tard ses victimes. Non pas que tous les dénouements baignent dans un le sang écarlate, mais les sacrifices sont souvent nombreux, arrivé au bout du tunnel. Seulement, il ne faut pas commettre l'erreur d'Orphée et se retourner avant d'avant vu la lumière, la vrai lumière... Yuki Kaori explore le profond de l'être humain, être à la fois si imparfait, pourtant pouvant contester Dieu lui-même lorsque le besoin s'en ressent. Les êtres humains et leurs faiblesses, leurs forces, la profondeur et la puissance de leurs sentiments qui font de eux ce qu'ils sont. La lumière ne vient pas toujours du ciel, elle est déjà là en nous, même lorsque tous les espoirs semblent perdus. La mangaka nous offre une boîte de pandore dans lequel se miroitent nos maux qui ne sont que le fruit de nos propres actes, de nos erreurs. Elle y a laissé l'espoir, seulement il faut savoir où le retrouver. Les anges ne sont pas toujours si purs, les démons ne sont pas toujours si mauvais. Il n'y a pas de manichéisme dans les univers de Kaori Yuki, rien n'est vraiment blanc ni noir. La frontière des deux clans n'existe promptement pas, les valeurs prônées de chaque côté ont toutes raisons d'être, et c'est ce qui fait le charme de ces histoires courtes ou longues. La mangaka est passée maître dans l'art de conter des histoires cruelles...Elle y dépeint aussi les faiblesses de notre société, une société qui, à force de rechercher la perfection ne semble que sombrer d'avantage dans la décadence.

A côté de ce genre plutôt fouillé, la grande dame inclut toujours des moments de détentes où l'humour est omniprésent, que ce soit des situations cocasses, de petits gags sans importance ou des quiproquos inattendus, il y a toujours de quoi apaiser le tout, à côté des moments de pure émotions ou d'action intense.

De nos jours, plusieurs séries de la mangaka ont été traduits en français par les éditions Tonkam, tel que Angel Sanctuary, Comte Cain (incluant God Child) et Neji.
Depuis Angel Sanctuary et Comte Cain [God Child en suite] la mangaka n'a plus entrepris de série longue proprement dite. Les nouvelles qu'elle a entreprit récemment sont dans un esprit un peu plus léger, tout en ayant sa griffe si particulière.
Deux autres courtes séries ont été acquises par les éditions Tonkam:

Fairy Cube, en trois tomes, inspiré de la mythologie celte et irlandaise, où l'on exploire l'univers caché mais bien réel des êtres mythiques que sont les fées, à la fois fragiles et cruelles, timides et espiègles, autant de facettes de personnalités que peuvent révèler les fairy cube... L'histoire narre une fois de plus les méandres tourmentés de liens familiaux, un thème cher à Yuki-sensei, deux frères au même visage, du même sang, mais véritablement de monde différents. Pourtant une chose les rapprochent, leur souffrance né de l'incompréhension du monde qui les entourent, une douleur qui finira à les pousser l'un l'autre dans le piège infernal de la haine... Une série à la trame assez légère par rapport à leurs noirs antécédents.

Ludwig Kakumei traduit par Ludwig Revolution, la mangaka se fait plaisir en revisitant à sa manière les contes de fées d'antan. Les contes ont toujours baignés l'enfance des mortels depuis jadis...
Pâles princesses attendant la délivrance par leur princes charmants, marâtres cruelles et sans pitié toujours châtiés à la fin du récit... La trame est connue, et bien qu'obsolète, continue à séduire ceux qui y prêtent attention. Mais si la princesse ne se révèlait pas aussi douce et pure qu'elle y apparaît? Et si le prince bien que charmant, ne correspondait nullement à un modéle de droiture chevaleresque, qu'adviendrait-ils de nos précieux contes? Simplement des contes de Ludwig Revolution, osant avec brio déranger l'équilibre de la balance du "tout est parfait dans le meilleur des mondes" pour faire naître un monde décadant où Yuki-sensei reigne en maître seule... Traîtrises, complots, secrets inavoués, sont le côté "cruel" des contes d'antan, que l'auteur remet au grand jour car qui vous dit que le petit chaperon rouge ne se trouve pas toujours dans le ventre du loup? Tiens, vous n'avez pas lu l'original du conte? Vous risquez d'être alors surpris...
Un ton léger et comique dans cette série toujours en cours, parmi les sombres desseins de certaines histoires...

Devant le succès du manga Angel Sanctuary, trois OAVs ont été produites en 2000. Ces OAVs pourtant ont été amputées de plusieurs éléments principaux de l'histoire et ne couvrent que le trois premiers tomes de la série. Il exsite aussi une édition de luxe reliée du monument "Angel Sanctuary" éditée par Tonkam toujours, fin 2007. Chaque tome relié compte de tomes normaux de la série, une nouvelle traduction à été envisagée pour cette édition.

Yuki Kaori a participé en tant que character-designer à la série Meine Liebe qui au départ, était un jeu video de rôle sur GBA avant d'être adaptée en série animée en 2004.
La série Blood Hound traitant des aventures de vampires plutôt sympathiques et d'une lycéenne au fort caractère a été adaptée en série drama (live) sous le nom de "Vampire Gigolo"

Yuki Kaori captive, intrigue, passionne. Son art graphique fouillé d'une grande beauté ne laisse pas indifférent et ces intrigues profondes au goût doux-amer non plus.
Ces atouts en main, la mangaka séduit toujours un large public et demeure l'une des icônes incontournable dans le domaine du manga.

Bibliographie (toutes oeuvres publiées par Hakusensha)
Série complète :
Hakushaku Cain – Comte Cain part I à IV
God Child – Comte Cain Part V.
Tenshi no Kinryôku – Angel Santuary

Recueils :
Kaine – endorphine – entre vie et mort
Shônen Zanzo – the boy next door
Sareki Ôkoku – Gravel Kingdom
Zankôkuna Dôwa Tachi – Conte de fées cruel
Neji
Ludwig Kakumei – Ludwig Revolution
Yoruguta Aijin Senmonen – Blood Hound

Nouvelles (en court de parution) :
O no sokoshi
Psycho Knocker
Yôsei Hyôhon – Fairy Cube

Art Book :
Angel Cage
Lost Angel

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20 juillet 2011 3 20 /07 /juillet /2011 16:41

clamp 646

Qu'est-ce CLAMP ?

CLAMP est un cercle de mangaka feminins qui commence son activité en 1989, dans le milieu du fanzinat ou dôjinshi, sous le nom de Amarythia. Originellement, le groupe compte douze membres.
Vers 1990, le cercle de magaka diminue de douze membres à sept membres, change de nom, devient CLAMP et se lance dans le milieu professionnel avec la publication de leur premier manga dans le magasine Wings : RG Veda. Le succès est au rendez-vous mais le groupe perd de nouveaux deux membres en cours de production Akiyama Tamayo et Sei Leeza.

Actuellement, CLAMP compte quatre membres officiels. A noter que leurs noms professionnels ont changé en 2004, lors de leur 15 ième anniversaire de carrière professionnel. Dans une interview, Ageha Ohkawa révèle que CLAMP a mûri depuis et que leurs anciens noms ne convenaient plus à leurs personnalités actuelles. En fait, Mick Nekoi n'aimait pas que l'on fasse référence à Mick Jagger en parlant d'elle et Mokona Apapa a décidé laisser tomber son nom de famille parce que cela faisait trop immature. Le reste du groupe a juste suivi la vague de changement. A noter que Satsuki Igarashi a juste décidé d'écrire son nom avec des kanji différents tout en conservant la même prononciation.


Que dessine CLAMP ?

Le studio CLAMP possède dans son répertoire un nombre impressionnant de travaux à la fois de style et de genre très différents. CLAMP joue un peu dans un peu près tout : du magical girl, du shônen, du shôjo et d'autres mangas un peu moins typés qui font un peu "outsiders". A côté des séries s'ajoutent des one-shoots et de nombreux artbooks, regroupant de très belles illustrations toutes en couleurs de leurs séries. Le TEMNAGOUKA, l'arbook des illustrations de RG Veda est l'un des plus rares à trouver en ce moment et l'un des plus onéreux vu le niveau de qualité fourni.


Qu'est-ce qui fait le succès de CLAMP ?

CLAMP tient d'abord son originalité dans le fait que chacun des quatre membres s'occupe d'un post différent :
Ageha Ohkawa s'occupe du script, Mokona est l'illustratrice principale, Tsubaki Nekoi est assistante graphique pour tout ce qui est retouches mais s'occupe d'illustrations dans les mangas récents de CLAMP et Satsuki Igarashi est aussi assistante graphique et s'occupe du design, des découpages des planches, de la mise en page et des trames. Tsubaki Nekoi s'occupe aussi des mini-journaux CLAMP où ceux-ci se parodient eux-mêmes avec des dessins kawai et SD.

Le style graphique de CLAMP a beaucoup évolué depuis tout en restant de qualité. Dans les séries de début comme RG Veda et X-1999, le graphisme est très fouillé, le groupe de mangaka défie les codes graphiques habituels. CLAMP aime beaucoup les trames, l'encrage, les décors sont recherchés et bien détaillés (avec une utilisation de photos réelles de monuments japonais retravaillés dans le cadre de X-1999) avec une ambiance bien marquée. Les personnages sont dessinés de manière à leur insuffler le plus de vie possible : des mouvements aériens et des reflets impressionnants dans les chevelures, des yeux stylisés à travers lesquels on perçoit presque une âme. Sinon, des personnages aux mouvements fluides, à l'apparence soignée avec une certaine tendance vers l'androgénie.

Dans les séries moins sérieuses telles que CLAMP High School Detective, Dukalyon et Cie, on reconnaît la patte de CLAMP mais tout est mis sur un trait plus simple le tout restant bien sympathique, les séries étant surtout basées sur l'humour. Les outsiders : Clover, Shirahime-shô. Un graphisme extrêmement léger et une mise en page très épurée, donnant une impression de lire sur un souffle de vent pour le trèfle et un trait de pinceau d'encre de Chine marqué pour les landes désolées de la dame des neiges. Les illustrations par Tsubaki Nekoi avec Wish et J'aime ce que j'aime qui étaient un peu maladroites tout en apportant une certaine touche de fraîcheur malgré cela a bien évolué dans Lawful Drug ou XXX Holic, avec certes des personnages plus longilignes, un graphisme au charme un peu étrange, un style différent de celui de Mokona. Et maintenant, dans les mangas plus récents, CLAMP a abandonné les trames, reflets, etc pour un graphisme épuré mais dynamique et fluide collant parfaitement au rythme de série comme Tsubasa Reservoir Chronicle.

Le scénario type CLAMP par Ageha Ohkawa est toujours bien ficelé et recherché. Rien n'est anodin tout tient d'une pièce mais rien n'est dévoilé depuis le début. Ohkawa se débrouille toujours pour créer un univers riche mais crédible et cohérent où évoluent ses personnages (elle se documente avec précision.
Les thèmes abordés sont divers du plus simple au plus complexe, de la loufoquerie purement CLAMP à l'apocalypse le plus total avec X-1999 ou RG Veda. Il n'y pas non plus de tabous : inceste, violence, conflits politiques aux relents empoisonnés, ésotérisme, mythologie, ... Ohkawa n'y va pas de main morte mais le tout est compris dans un savant mélange dont elle seule en a le secret, parsemé de quelques indices qui en savent toujours plus qu'ils ne veulent vous en révéler : l'élixir composant le scénario se distille au compte gouttes. Ce n'est pas pour cela que Ohkawa lésine sur les situations cocasses, humoristiques, ou les passages sentimentaux. CLAMP a toutes les ficelles en main donc tout ce décline à l'infini sans problème, on y retrouve toujours la griffe CLAMP dans le dramatique comme dans la légèreté.

Les personnages ? Dame Ohkawa aime les psychologies torturées, ceux qui ne paraissent pas ce qu'ils sont et ceux qui sont toujours prêt pour se mettre dans des situations impossibles.
Les relations entre personnages sont souvent un peu ambiguës, la frontière des sentiments est estompée et n'existe quasiment pas chez CLAMP... Tout ce qu'on peut dire, c'est que ceux-ci ne manquent pas de ressources ni de caractère depuis la jeune héroïne en fleur à l'être torturé par ses remords et blessures du passé.

Une caractéristique de CLAMP est le cross-over. Le studio a su créé un univers "CLAMP" à lui tout seul, que l'on retrouve dans chaque oeuvre sortie de l'imagination de nos quatre mangaka. Recyclage des protagonistes apparaissant dans d'autres oeuvres que l'originale à laquelle ils appartiennent, des "goodies" CLAMP semés de part et d'autres dans les différents travaux qui n'échappent pas à l'oeil du lecteur attentif (marque "Piffle Princess", guide "angelic layer", livre "La ville déserte", ect... ), en plus des histoires qui s'interpénètrent sans pour cela semer la confusion grâce à une manipulation subtile par notre scénariste Ageha Ohkawa, tout cela pour le plus grand plaisir des fans.


CLAMP a donc beaucoup pour plaire à un large public et ce n'est pas pour rien que nombre de leur oeuvres ont été portés sur le petit et grand écran.
A l'occasion, CLAMP s'offre toujours les grands noms du domaine de l'animation et de la musique. Notre groupe de mangaka n'hésite pas à intervenir elles-mêmes dans le scénario en créant des fins alternatives (surtout lorsque la version papier n'est pas encore terminée lors de la production de la version animée) ou des personnages inédits comme Shougo Asagi (X-1999) ou Li Meiling (Card Captor Sakura) donnant toujours une envie de voir l'anime et le manga puisque l'histoire des deux versions est toujours originale. Les animes de CLAMP se de plus ou moins bonne factures : certains sont de qualités et s'inscrivent dans les pas de leurs grandes soeurs en papier d'autres ont perdu leurs charme par l'amputation de un ou plusieurs éléments "pilotes" du script original et qui donne l'impression d'avoir une histoire incomplète tel que les OAVs de RG Veda.

En dehors de cela, il y a aussi les films où souvent CLAMP donne au spectateur qui était resté sur sa faim à la lecture du manga et autre fin comme pour les film de Card Captor Sakura. Mention speciale à X-1999 dont la version papier n'est pas encore terminée, se donne droit à trois fins alternatives différentes puisque la production de l'anime et du film ont eu lieu en cours de production du manga. Le film X-1999 s'offre une équipe de production de choix : le chara-designer Noboteru Yuki et le studio Madhouse. L'animation est fluide et de qualité mais l'histoire un peu rapide et expéditif (à la l'époque, on était au tome 3 de manga). La bande son s'offre la prestige d'un générique de fin écrit par le groupe mythique X-Japan avec Forever Love.
CLAMP oublie rarement leur collaborateurs : elles ont illustré la couverture de l'album Noblerot ainsi que du single Labyrinth de groupe ALI PROJECT ayant participé au génériques de CLAMP High School Detectives.

CLAMP s'offre aussi des mini-clips animés lorsque la série en question n'a pas été adaptée en anime comme Wish, Clover ou CLAMP in Wonderland (cross-over avec tous les personnages du monde de CLAMP).
En 2007, le second clip intitulé "CLAMP in wonderland 2" voit le jour, compilant en animation les personnages créés par l'équipe de mangaka entre 1989 et 1994, c'est à dire plus de 100 personnages (dont certains qui ne sont jamais sortir de leur version papier ! ) sur un total d'environ 4 minutes, servit par une nouveau thème chanté par la grande Maaya Sakamoto. Ce second clip a été sorti dans les bac avec son antécédent dans une compilation nommée "Clamp In Wonderland 1&2 1989-2006" contenant en supplément l'intégralité du storyboard ayant servit à l'élaboration des deux clips.
CLAMP ont participé en tant que chara-designer au projet animé un peu déjanté de Sweet Valerian.

Récemment, les romans Sohryuden : Legend of the Dragon Kings, datant de 1987, ont été traduit par Dragon Brothers ont été publiés par les éditions Hachette Jeunesse. CLAMP a offert ses talents d'illustrateurs dans cette saga de 13 tomes, écrit par Yoshiki Tanaka, auteur fantasy de renommée. On regrette la manque d'illustrations en couleur et d'illustrations tout court dans l'édition française.

CLAMP est aussi à l'origine les esquisses des personnages de la série Code Geass, qui furent finalisé par Takahiro Kimura.

2009 est l'année CLAMP, marqué par déjà 20 ans de carrière depuis les toutes premières planches dessinée par le studio en 1989. A cette occasion, le quatuor est invité pour le 10th anniversaire de la convention JAPAN EXPO, évènement qui ne peut que ravir les fans des quatre mangaka. Une exposition nommée "CLAMP, les reines du manga à Paris" est tenue du 3 Juillet au 27 Septembre à La Galerie des Bibliothèques (Paris), dont on a pu avoir un aperçu à la JAPAN EXPO avec une très belle galerie d'objets dérivés des travaux CLAMP exposés en vitrine. Dans la foulée des nouveautés CLAMP pour fêter l'avènement de leur 20 ans, Pika Editions (chez qui une grande majorité des oeuvres du studio ont été traduites en français) ressort pour le plus grand bonheur des lecteurs, des éditions deluxe ou double "20th Anniversary" de Card Captor Sakura, Tsubasa RESERvoir CHRoNICLE, Clover. Un artbook spécial, intitulé "CLAMP in Paris" est aussi publié chez le même éditeur. Les éditions Tonkam en font de même avec RG Veda et Tokyo Babylon qui avaient disparu des bacs depuis un certain temps, en plus de l'agenda CLAMP 2009-2010 avec un petit extrait de X-1999 tome 19, dont la légère controverse suscitée par le thème des tremblements de terre au Japon avait coupé court à la parution du manga chez Kadokawa Shoten depuis 2003, série qui devait compter 23 tomes au total.

En petit supplément, pour l'occasion, le studio CAPCOM a fait appel aux CLAMP pour signer le design d'un costume à débloquer du personnage Kazama Jin pour le 6ième volet du jeu éponyme "TEKKEN".

Le dernier né du studio CLAMP est Kobato, publié dans le magazine Kadokawa Shoten et ultérieurement traduit toujours chez Pika Editions en version française.


Les anciens membres de CLAMP ne sont pas restés inactifs après leur séparation du groupe originel :

Tamayo Akiyama

Née le 28 Novembre 1966
Type sanguin : B
S'occupait principalement des illustrations de CLUSTER quitte le cercle CLAMP en 1992. Ses projets solos sont Hyper Run et Moryo Kiden. Son style graphique n'est pas sans rappeler celui de Mokona.

Leeza Sei (vrai nom : Hijiri Riza)

Née le 28 Avril 1967
Avant assistante graphique dans RG Veda, illustre le manga Combination jusqu'au troisième volume et reprend la série à son compte parlasuite.Combination compte en total 6 volumes, série terminée.

A ce jour CLAMP studio est toujours en pleine effervescence et séduit toujours autant de public par l'originalité de leurs oeuvres que ce soit au Japon qu'à l'étranger. La plupart des mangas CLAMP sont traduit en français par des maisons d'éditons telles que Tonkam Pika éditions et Glénat. La plupart des animes ont été diffusés sur le petit écran comme Card Captor Sakura, Chobits, sinon en sortie DVD par l'éditeur Kaze, IDP ou Dybex (anciennement Dynamic Vision). Les artbooks sont également publiés par Pika éditions.


Bibliographie :

En cours :
Gate 7
Kobato
Lawful Drug
X-1999

Complet :

Angelic Layer
Card Captor Sakura
Chobits
Clover
Clamp no Kiseki
Clamp School Detectives
Combination
Derayd
Dukalyon : brigade spéciale
d'intervention
J'aime ce que j'aime
Le voleur aux 100 visages
Magic Knight Rayearth
20 Mensou ni Onegai !!
Miyuki in the Wonderland
Princess Shamanic
RG Veda
Tokyo Babylon
Tsubasa RESERvoir CHRoNICLE
Wish
XXXHolic

One-shoot

Shirahime-Shô
Watashi no Suki na Hito - Celui que j'aime
Yumeragi
Hidari Te
Shin Shunkaden
Sohryuden
Murikuri


Ainsi que de nombreux artbooks comme TEMNAGOUKA (RG Veda), Your eyes only (Chobits), Card Captor Sakura (3 artbooks), CLAMP north side & CLAMP south side (collectif).

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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 19:16
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15 juillet 2011 5 15 /07 /juillet /2011 22:01

1~ Please Save My Earth

2~ Kaze Toki No Uta

3~ Ranma 1/2

4~ Kenshin

5~Naisho no Tsubomi

 

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14 juillet 2011 4 14 /07 /juillet /2011 19:34

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  Histoire

En fouillant dans son grenier, le jeune Hikaru découvre un jeu de go, habité par l'esprit d'un ancêtre, un excellent joueur des temps anciens. C'est le début d'une nouvelle passion pour le jeune garçon, épaulé par les conseils tactiques d'une éminence grise vieille de plusieurs siècles. Mais, si les règles sont les même qu'auparavant, les adversaires ont changé et leur style de jeu a évolué. À moins peut-être qu'Hikaru ne soit pas aussi néophyte qu'il n'y paraît...

Ma critique

Bien que je serais une joueuse médiocre de jeux de Go,cette anime m'a littéralement scotché!C'est prenant,à rebondissement,pas de temps mort,avec 75 episodes et un jeux qui aurait pu sembler ennuyeux à suivre,il faut le faire !La réalisation est bonne avec un graphisme plaisant,nette et de belles couleurs vives.De plus les génériques sont beaux pour ma part !

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14 juillet 2011 4 14 /07 /juillet /2011 19:25

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Histoire

Après le divorce de ses parents, Miyori, jeune fille de onze ans, se renferme et refuse tout contact avec le monde qui l'entoure. Étant un poids pour son père qui la garde, elle est alors confiée à ses grands-parents qui vivent près de la forêt. Mais c'est au détour d'une promenade, elle finit par se retrouver au pied d'un grand cerisier et fait la rencontre d'êtres peuplant cette mystérieuse forêt.
Elle est alors obligée à côtoyer les élèves de sa nouvelle classe, et à vivre dans un environnement peu familier tout en gérant ce qu'elle croit être des hallucinations… 

Ma critique

Ce film m'a donner l'impression de ce là jouer Miyazaki mais la mayonnaise ne prend pas je trouve... C'est plat comme le personnages principal.Le doublage est en plus mauvais pour ne pas arranger les choses...La réalisation est inégale...Bref rien de positif dans cette anime...

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12 juillet 2011 2 12 /07 /juillet /2011 07:00

26865_4bc94ecd017a3c57fe022a60_1293117034-copie-1.jpg Histoire

Kouichi, un jeune garçon, découvre par hasard un Kappa (un diablotin d'eau ayant l'apparence d'une tortue) espèce encore fréquente pendant le Japon médiéval mais qui aujourd'hui n'est resté que sous forme de légendes populaires.
Après avoir convaincu le reste de sa famille à le garder avec eux ; Kouichi et Coo vont se lier d'une profonde amitié. Cependant, vivre au sein des humains pour un Kappa n'est pas chose facile d'autant plus que ce sont probablement ces derniers à avoir décimé cette espèce par l'industrialisation de leur habitat naturel.

Ma critique

Un anime qui se résume à cette phrase : Les monstres ne sont pas ceux qu'en croit !J'ai enormement aimé meme si le début est long au démarrage, et que le film est un p'tit peu  long.Coo est attachant et m'a beaucoup émus !Oui j'ai presque verser ma petite larme !La réalisation est pas mauvaise du tout !Et le doublage plutôt bon !Une bonne surprise pour ma part !

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Qui Suis-Je ?

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  • : Critiques de Mangas et d'Animes,j'aime en particulier :les mangas de clamp et Kaori Yuki,le Yaoi ne me laisse pas indifférente.Le kawaii,les animes de mon enfance...
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